La cuisson au feu de bois à tout de suite été une évidence pour moi. La puissante magie du feu, le choix d’un bois local, le contrôle de ma dépense énergétique, et bien sûr le goût incomparable.
A la création du fournil, j’ai auto-construit un four Panyol en terre blanche de Tain-L’hermitage.
Trois ans plus tard, pour réduire le nombre de cuissons, il a fallu changer pour un plus grand.
J’ai choisi un grand four de la société Farjas, des spécialistes du four à bois traditionnel. Avec son manteau de briques réfractaires, sa sole tournante suspendue et son foyer déporté, ce « beau bébé » de plus de 40 tonnes à une telle inertie thermique qu’il nous permet de cuire plus, tout en le chauffant moins.